Quand on réalise que la vie sur terre est destinée à notre évolution, notre perception des difficultés qu’elle nous apporte se transforme considérablement.
Cette analogie simpliste entre la vie et l’école offre une réflexion plus profonde qu’on pourrait se l’imaginer. Lorsqu’un parent inscrit son enfant à l’école primaire du quartier où il vit, il fait vraisemblablement confiance au système scolaire, à l’établissement lui-même ainsi qu’à l’équipe professorale. Et ce, à plusieurs points de vue. Il a confiance en ce que l’enseignant inculquera à son enfant, à la capacité de l’institution à protéger son enfant contre d’autres enfants difficiles, à le rendre autonome et à le préparer à la vie.
Et, bien qu’inconsciemment, il fera confiance en deux principes qui doivent s’équilibrer l’un avec l’autre:
- on n’imposera pas à son enfant des exigences au-delà de ses capacités;
- on le stimulera suffisamment pour qu’il évolue et s’améliore.
L’école n’imposera pas à cet enfant des exigences universitaires alors qu’il est encore à l’école primaire, et vice-versa. Autrement dit:
- « Nul n’est éprouvé au-delà de ses force » (Saint-Paul) et
- « Nul n’est éprouvé en deçà de ses forces » (moi).
Voilà l’une des prémisses essentielles qui nous conduira, au bout de réflexions et de questionnements, à accepter que tout devienne une bénédiction!
Bonjour on aime beaucoup l introduction et on a hâte de lire la suite Cosette Normand’´ cest Dire la vérité avec sagesse
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